Une machine robuste qui imprime vite et bien

TVE Reclameproducties teste l’Oberon RTR3300

TVE Reclameproducties teste depuis près d’un an la nouvelle imprimante roll-to-roll Oberon RTR3300 d’Agfa. Selon le propriétaire Hennie van Osch, c’est une machine robuste. « Construite selon les normes européennes ». Offrant plus de rapidité et une meilleure qualité d’impression que sa petite sœur, l’Anapurna RTR3200i LED, dont TVE a deux exemplaires. Elle prend en charge de nombreux supports. « Si vous ne pouvez pas imprimer certains supports sur l’Oberon, vous ne pourrez les imprimer sur rien. »

Le Groupe TVE emploie au total environ 130 personnes. « La force de notre groupe réside dans notre capacité à quasiment tout produire en interne », explique Hennie van Osch. Le parc de machines de Dedemsvaart et de Velp, par exemple, comprend des imprimantes de marques telles que Durst et Efi Vutek. À Sint-Oedenrode en particulier Agfa, beaucoup d’Agfa. Hennie van Osch : « Comment est née cette relation ? Nous avions deux machines Gandi. Quand Agfa a repris les activités de ce fabricant d’imprimantes, ils ont aussi fait face à toutes les difficultés que nous avons connues avec Gandi. Ils en ont souffert plus d’un an et demi, sans broncher. Je ne l’oublierai jamais. Leur équipe de service et de soutien est de qualité. Voilà pourquoi Agfa est la première à s’asseoir à ma table quand je dois passer à l’étape suivante. »

Le plus jeune membre de la famille Agfa située à Sint-Oedenrode est l’Oberon RTR3300, dont il sera fait une démonstration à la Fespa, à Madrid. Depuis juillet 2019, TVE Reclameproducties teste cette imprimante roll-to-roll de 3,3 mètres de laize. « TVE est le site alpha pour cette machine », explique Pedro Overmeer, Sales Manager Inkjet Nederland chez Agfa. « Ils effectuent souvent des tests pour nous, mais c’est la première fois qu’une machine alpha est installée chez TVE. Nous sommes extrêmement satisfaits de leur feed-back. Il est au fond surprenant de constater le peu de problèmes de démarrage de cette machine, qui est équipée de six têtes d’impression haute fréquence Kyocera. »

Hennie van Osch : « C’est une machine robuste, construite selon les normes européennes. » Par exemple, la navette des têtes d’impression est plus lourde et ne se déplace pas le long du bras avec un rack, mais à l’aide d’un moteur électrique linéaire. « On l’entend à peine. » L’option double rouleau permet d’imprimer simultanément deux rouleaux jusqu’à 1,6 mètre de laize. « Cela fonctionne très bien. Il y a deux axes séparés qui maintiennent indépendamment le support à la bonne tension lors de l’enroulage et du déroulage. »

Grande prise en charge de supports

L’Oberon RTR3300 convient à une grande variété de supports et d’applications. En plus des lampes de fixation à LED refroidies par air, cette imprimante est dotée d’une table refroidie par eau qui maintient la zone d’impression à température ambiante. On peut ainsi traiter, en principe, n’importe quel type de matériaux thermosensibles en rouleau, y compris les supports meilleur marché.

Hennie van Osch : « Si vous ne pouvez pas imprimer certains supports sur l’Oberon, vous ne pourrez les imprimer sur rien.

Nous avons commencé par utiliser 120 grammes de papier ; maintenant, c’est 55 grammes s’il le faut. Tout fonctionne bien. Dans la pratique, cependant, nous utilisons à peine cette imprimante pour ce genre de tâches. »

Le kit dédié à l’impression sur maille, avec ou sans doublure, est largement utilisé. « Un tel kit n’est pas disponible sur l’Anapurna. Là, nous utilisons le liner. En termes de coût, cela importe peu, mais il en résulte des déchets supplémentaires qu’il faut enlever et nettoyer. C’est peu enviable », déclare Hennie van Osch.

Facilité d’utilisation

Les supports peuvent être chargés rapidement par un seul opérateur, grâce à une configuration unique. Sur les côtés entrée et sortie, des rouleaux pinceurs supplémentaires situés à l’avant et à l’arrière des rouleaux de transport maintiennent le support et permettent donc une impression en sortie libre. Cela signifie qu’un support en rouleau ne doit pas être entièrement étiré avant que l’impression puisse débuter. « Pratique pour les petites commandes urgentes entre deux tâches !

On peut découper une commande au milieu du rouleau, sans perdre la tension de la toile. Et on a moins de gâche des supports », explique Hennie van Osch. « Perdre une cinquantaine de centimètres au lieu de deux mètres, cela fait une grande différence. »

Selon lui, la barre lumineuse intégrée à l’imprimante permet aussi de contrôler facilement la qualité des productions rétroéclairées.

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